Issue des voitures, des usines, du tabac, mais également de la colle utilisée pour fixer les moquettes, la pollution urbaine est formée par un mélange de particules fines et de gaz. De nombreux parents sont inquiets de son impact sur leurs enfants.
Allergies
Respirer un air pollué n’est pas sans conséquence. À ce phénomène, il faut rajouter les facteurs météorologiques qui ont un impact sur la pollution urbaine. De plus, les petits sont les principaux concernés car ils ont le nez à hauteur des pots d’échappement. L’eczéma (allergie de la peau), les allergies alimentaires, ainsi que les allergies respiratoires peuvent être déclenchés par cette pollution.
Signes d’asthme et toux chronique
Étant donné que les organes des nourrissons ne sont qu’au début de leur croissance, ceux-ci sont les plus vulnérables. Leur développement pulmonaire peut être altéré, ce qui aura comme conséquence des poumons de petite taille à l’âge adulte. D’autres signes doivent alerter les parents : sifflements dans la respiration, bronchites répétées, toux chroniques, etc… Il en est de même pour l’asthme qui s’empire.
Comment protéger les enfants ?
Ne pas utiliser d’encens
Ne pas fumer à domicile
Limiter l’usage de l’auto
Ne pas utiliser de produits chimiques pour décorer son intérieur
Ne pas faire de feux de cheminées à ciel ouvert
Evitez d’utiliser des aérosols
Privilégier l’essence au diesel
Aérer la maison minimum 15 minutes par jour
Attention car les masques sont inutiles, étant donné que les particules fines passent à travers.
D’autres possibilités en cas de pollution sont d’éviter les activités physiques à l’extérieur, de garder les enfants à l’intérieur et surtout de leur donner correctement leur traitement de fond s’il y en a un.